Racine, 'Bérénice' (1670)
Séquence de début d'année en seconde
le théâtre du 17e s. à nos jours
"Cœur saignant et parole froide" (KM Grüber)
Programmation prévisionnelle de la séquence
Extraits étudiés
cours d'introduction
COURS
Cours sur l'acte I scène 4 (Antiochus)
Cours sur l'acte I scène 5
(l'hypotypose pour parler de Titus)
cours sur l'acte IV scène 5
Evaluation de fin de séquence
= initiation à la dissertation sur œuvre
Sujet & corrigé
Documentation
Ludmila Mikael lit Klaus-Michael Grüber au sujet de la pièce
Mise en sc. version radiophonique, Comédie Française (2017)
Dire l'alexandrin racinien par Eric Ruf, administrateur de la Comédie Française
RACINE par Alain VIALA
Présentation
Les passions raciniennes
Les tragédies politiques
L'émotion chez Racine, selon Ch. BIET
Présentation de la tragédie sur Odysseum
Préface de l'auteur
C'est-à-dire que "Titus, qui aimait passionnément Bérénice, et qui même, à ce qu'on croyait, lui avait promis de l'épouser, la renvoya de Rome, malgré lui et malgré elle, dès les premiers jours de son empire". Cette action est très fameuse dans l'histoire, et je l'ai trouvée très propre pour le théâtre, par la violence des passions qu'elle y pouvait exciter.
[...]
Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie ; il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
[...]
Il n'y a que le vraisemblable qui touche dans la tragédie. Et quelle vraisemblance y a-t-il qu'il arrive en un jour une multitude de choses qui pourraient à peine arriver en plusieurs semaines ? Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien (...).
France inter : podcast sur Racine
Racine dans ça ne peut pas faire de mal
(Guillaume Gallienne avec Ludmila Mikael)
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